« Un jardin, même tout petit, c’est la porte du paradis« , disait l’écrivaine Marie Angel. Elle a probablement sorti cette phrase allongée dans le parc d’Erawan, ombragée par la jungle luxuriante. Ses sept cascades qui se succèdent. Son eau limpide qui joue avec la roche. Tous ses poissons venant vous picorer les pieds. Sa flore exceptionnelle qui respire la quiétude. Son chemin, tantôt en escalier, souvent escarpé. Ses lianes solides offrant une chaise de choix pour admiré le paysage. Et quelle vue depuis le sommet de la réserve. Préservée de toute infrastructure. Plus tentant que le jardin d’Eden. En fait, le paradis est aussi sur Terre. Portfolio.
Sept cascades peuplent le parc national d’Erawan.
Les escaliers laissent place peu à peu à un chemin de randonnée pour accéder au sommet du parc.
Les lianes s’enroulent, s’enlacent jusqu’à la cime. ici, une balançoire.
La roche, polie par l’eau fraîche, offre des toboggans naturels exceptionnels.
Le Marox et la France se prennent un bain des plus rafraichissants.
La jungle à perte de vue, immaculée.
Cheveux au vent avec Geff, le vagabond canadien.
Sunset en sorng·taa·ou. Magique.
Détente après 13km de kayak.
En 4×4, direction le kayak.
C’est parti pour descendre la rivière Kwae sur 13km.
L’eau. La jungle. Point.
Un homme Mon en pleine fête traditionnelle qui célèbre Bouddha.
ABBA & Dancing Queen dans la forêt thaïlandaise: check.
Sorng·taa·ou, acte II.